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Urticaire chronique et corticothérapie générale, les liaisons dangereuses

Urticaire chronique et corticothérapie générale, les liaisons dangereuses Ann. Fr. Med. Urgence (2011) 1:303-304 DOI 10.1007/s13341-011-0097-1 ÉDITORIAL / EDITORIAL Chronic urticaria and systemic corticosteroids, the dangerous links E. Amsler · A. Nosbaum · Groupe urticaire de la Société française de dermatologie © SFMU et Springer-Verlag France 2011 La majorité des patients se présentant dans un service Pourquoi faut-il éviter la corticothérapie d’urgence avec une poussée d’urticaire généralisée et/ou un générale dans l’UC ? angio-œdème va recevoir un traitement associant corticoïde et antihistaminique. Cette attitude pragmatique permet dans Il s’agit par définition d’une pathologie chronique, bien des cas de réduire l’évolution de l’urticaire aiguë tout souvent prolongée. Une étude portant sur 139 urticariens en soulageant le malade, mais n’est confortée que par de chroniques a ainsi montré la persistance de la maladie rares études [1,2]. Le but de cet éditorial n’est pas tant dans 52 % des cas à deux ans, 43 % à trois ans et 14 % de remettre en question cette attitude thérapeutique que à cinq ans [5]. Le recours répétitif à la corticothérapie par d’attirer l’attention des urgentistes sur une situation où méconnaissance du diagnostic peut générer une cortico- la corticothérapie peut être délétère, l’urticaire chronique dépendance et des effets secondaires non négligeables (UC). http://www.deepdyve.com/assets/images/DeepDyve-Logo-lg.png Annales françaises de médecine d'urgence Springer Journals

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Publisher
Springer Journals
Copyright
Copyright © 2011 by Société française de médecine d'urgence and Springer-Verlag France
Subject
Medicine & Public Health; Anesthesiology; Intensive / Critical Care Medicine; Emergency Medicine
ISSN
2108-6524
eISSN
2108-6591
DOI
10.1007/s13341-011-0097-1
Publisher site
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Abstract

Ann. Fr. Med. Urgence (2011) 1:303-304 DOI 10.1007/s13341-011-0097-1 ÉDITORIAL / EDITORIAL Chronic urticaria and systemic corticosteroids, the dangerous links E. Amsler · A. Nosbaum · Groupe urticaire de la Société française de dermatologie © SFMU et Springer-Verlag France 2011 La majorité des patients se présentant dans un service Pourquoi faut-il éviter la corticothérapie d’urgence avec une poussée d’urticaire généralisée et/ou un générale dans l’UC ? angio-œdème va recevoir un traitement associant corticoïde et antihistaminique. Cette attitude pragmatique permet dans Il s’agit par définition d’une pathologie chronique, bien des cas de réduire l’évolution de l’urticaire aiguë tout souvent prolongée. Une étude portant sur 139 urticariens en soulageant le malade, mais n’est confortée que par de chroniques a ainsi montré la persistance de la maladie rares études [1,2]. Le but de cet éditorial n’est pas tant dans 52 % des cas à deux ans, 43 % à trois ans et 14 % de remettre en question cette attitude thérapeutique que à cinq ans [5]. Le recours répétitif à la corticothérapie par d’attirer l’attention des urgentistes sur une situation où méconnaissance du diagnostic peut générer une cortico- la corticothérapie peut être délétère, l’urticaire chronique dépendance et des effets secondaires non négligeables (UC).

Journal

Annales françaises de médecine d'urgenceSpringer Journals

Published: Aug 6, 2011

References